Pour diminuer les risques psychosociaux et augmenter la présence sur la voie publique. Le secrétaire général a rencontré, le mercredi 1er décembre à Nantes, le Directeur départemental de la sécurité publique de Loire-Atlantique.
C’est, selon le secrétaire général d’Alternative Police, Denis Jacob, « un des sujets importants » pour la police. L’urgence en question : la réforme des cycles horaires. C’est ce qu’est venu dire, ce mercredi 1er décembre, à Nantes, le syndicat et ses représentants au Directeur de la sécurité publique de Loire-Atlantique, Nicolas Jolibois. Pour faire simple, ils se battent, depuis 2019, pour faire passer les fonctionnaires en tenue, la police secours, à un rythme de travail binaire de 12 h 08. Plusieurs avantages pour ses partisans : « Les policiers bénéficient aujourd’hui d’un week-end de repos toutes les six semaines. Demain, avec ce nouveau rythme, ils bénéficient d’un week-end de trois jours, toutes les deux semaines. » Secrétaire zonal adjoint Grand-Ouest et départemental adjoint de Loire-Atlantique, Thierry Audouin complète : « Cela change la vie des collègues. En termes de risques psychosociaux, c’est une grande avancée. »
C’est, selon le secrétaire général d’Alternative Police, Denis Jacob, « un des sujets importants » pour la police. L’urgence en question : la réforme des cycles horaires. C’est ce qu’est venu dire, ce mercredi 1er décembre, à Nantes, le syndicat et ses représentants au Directeur de la sécurité publique de Loire-Atlantique, Nicolas Jolibois. Pour faire simple, ils se battent, depuis 2019, pour faire passer les fonctionnaires en tenue, la police secours, à un rythme de travail binaire de 12 h 08. Plusieurs avantages pour ses partisans : « Les policiers bénéficient aujourd’hui d’un week-end de repos toutes les six semaines. Demain, avec ce nouveau rythme, ils bénéficient d’un week-end de trois jours, toutes les deux semaines. » Secrétaire zonal adjoint Grand-Ouest et départemental adjoint de Loire-Atlantique, Thierry Audouin complète : « Cela change la vie des collègues. En termes de risques psychosociaux, c’est une grande avancée. »
Ce dispositif expérimenté dans une soixantaine de circonscriptions en France « répond aussi à la demande de la population de voir plus de policiers sur le terrain, observe Denis Jacob. La capacité opérationnelle est nettement accrue, entre +30 et + 50 %. Il y a encore un point d’achoppement avec les gars de la nuit mais globalement, c’est très positif. » Alternative Police à l’écoute de l’administration centrale et le changement de cycle devrait se généraliser rapidement. « Le DDSP du 44 attend des consignes de Paris pour le mettre en place. Ça devrait l’être au premier trimestre 2022. »